Ça fait neuf ans que je marche afghane. J’ai transformé ma vie plusieurs fois avec elle.
Pour moi, elle n’est plus une technique mais un outil qui soutient mon attention
grâce à sa dynamique respiratoire consciente. Puis l’outil devient un art de vivre, un art d’être qui a évolué pour moi aujourd’hui en un art d’aimer. À la base, tout à commencé par l’attention.
Pourquoi soutenir mon attention?
Ça t’es certainement arrivé de vouloir te vider la tête ou t’accorder une pause mentale. Si ton attention n’a pas de direction, peut-être que tu as réussi trente secondes, une minute ou peut-être trois si tu es fort, avant qu’une pensée vienne briser la quiétude que tu installais, sans trop que tu en sois conscient, et t’a amené dans un autre univers avec d’autres pensées qui ne sont pas en lien avec ton objectif de départ.
La réponse est évidente. Je soutiens mon attention pour être ici et maintenant,
présente, consciente, en dehors du monde des pensées. Je soutiens mon attention pour guérir d’une peine d’amour par exemple, ou pour retrouver mon énergie, réduire l’anxiété que je ressens, stabiliser mon esprit, voir plus clair, plus loin, plus grand, apprendre à me connaitre, apprendre à m’aimer, me calmer, connecter avec la vie, écouter et comprendre mon corps, transformer ma vie, m’épanouir, m’accomplir, m’ouvrir à l’inconnu, être à l’écoute de mes besoins, etc...
Sky’s the limit!!
Comment je soutiens mon attention?
C’est par une connexion à mon souffle. Avec une dynamique respiratoire précise qui
prend en compte les besoins de mon corps.C’est une respiration consciente qui à l’usage et derrière tous les bienfaits qu’elle offre, me ramène au centre de moi, à la source de ma nature humaine.
Ça m’a pris des années à découvrir que derrière mon souffle court ou bloqué, derrière
mes peurs et mes limites, il y a un océan de joie tranquille pour m’accueillir sans jugement. C’est la joie naturelle de la vie. La vie, c’est une joie immense et sans fin, logée au centre de soi. C’est là que je veux t’amener. C’est un grand saut mais on y va en jouant, sans
pression, un jour à la fois. Puis vient un moment où tu t’émeus devant cette évidence : la nature de la vie, c’est la joie, au fond de moi. Et ce qui permet d’y aller, c’est une attention soutenue, une attention qui ne cherche rien, qui ne veut rien, une attention curieuse d’explorer le chemin de ton propre souffle.
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